projet-napo-wagram 28mm
Le mélange indigeste : tapas et porridge ! (A droite rien ne va plus!)
Le 30/06/2017
La cav fait le tour du carré. Comme dit JP: il y avait un trou! |
3eme et dernier article sur la baston du weekend dernier.
Ici, nou sallons parlé de ce qui c'est passé sur l'aile droite française. Et il s'en ai passé de belles.
Côté allié, une force (et le mot est bien approprié) espagnole, commandé par JP Elcabalieroloco, comme la légende andalouse le nomme, me faisait face. Mon rôle était de faire un mouvement rotatif curviligne circulaire, à rayon constant, qui tourne vers la gauche. Bref, fallait que j'avance et que j'enveloppe la gauche ennemie. A priori, JP avait la même mission, mais en sens inverse. Sauf, que lui, il s'est arrangé pour arriver avec beaucoup, mais vraiment beaucoup d'unités. Du coup, mes ordres ont très vite changés : petit un : tenir ; petit deux : tenir ; petit trois : si petit un et petit deux ne sont pas possible, alors... tenir !
Autant le dire tout de suite, j'ai pris cher.
Voyant sa cavalerie légère, moyenne et lourde, avançait sur mon extrême droite (rien à voir avec la marine), j'ai mis dés que j'ai pu, un bataillon en carré, et j'ai rameuté mon artillerie dans ce coin là. Mais, JP, El loco jusqu'au bout, à dédaigné d'un coup de menton (tel le député catalan) mon carré, l'a évité tel le torero (le vrai, pas celui qui se fait embrocher dans les landes!), et s'est engouffré dans l'espace pour venir attaquer mes troupes qui rappliquaient dare dare au son du canon (surtout au son des castagnettes des cavaliers ibères). Je parvenais toutefois, a réorienter quelques regts de cav (1 cuir et 1 dragons) histoire de limiter la casse, ainsi qu'un grosse décharge de 8£ à bout portant, renvoyant un regt espinguin à ces chères études, tout du moins en direction des pyrénées.
Un peu plus sur ma gauche, il y avait une colline. Sur cette colline, il y avait un village. Dans ce village, il y avait des garrochistas (définition en français : cavalier pas cher, pas bon mais bien casse c****). A côté de ces garrochistas, il y avait des bataillons de lignes anglais et des rifles. Et en face, il y avait quoi ? Ma pomme avec 1 regt de dragons, 2 bataillons de lignes et... c'est tout. Bref, pas bien le français. Ayant envoyé mes dragons en soutien derrière mon carré, les chapeaux en pailles (garrochistas) ont rien trouvé de mieux que charger mon attelage d'artillerie (celle qui a plumé les cavaliers) et sont venus taper plein fer un bataillon de ligne. Ce dernier a du fuir directement sur un autre régiment de hussards alliés qui les a fait prisonnier.
Attaque ultime de la part del Loco. Voyant mon carré isolé, 2 bataillons espagnols sont venus le charger et l'exploser façon puzzle, envoyant le restant des troupes en déroute directement sur le même regt de hussards, qui se retrouvait donc avec 2 unités prisonnières.
Seule satisfaction pour moi : 2 généraux ennemis découpés au laser. De son côté JP s'est fait un plaisir de raboter la tête de mon général de division (qui ressemblait étrangement à Lassalle – le hussard pas le député béarnais!).
Bref, pour résumer, notre gauche gambadait et recevait des boulets, notre centre hésitait entre la droite et la gauche (faut dire que c'est tendance ces derniers temps) et notre droite s’effritait complètement (ça aussi c'est tendance). Autant dire, que la partie a été vite plié (je crois que sur ce coup là, on a battu notre record de durée de partie).
Donc messieurs les alliés, Olivier, Hervé et JP, bien joué. Messieurs les français, Didier et JJ, merci pour le partage des gifles encaissées. Cependant, je pense qu'il sera intéressant de jouer les mêmes listes d'armées (avec les mêmes joueurs?) mais sans rivière. Parce qu'il faut pas déconner les gars, on va pas rester sur une telle déculottée.
Rendez-vous à suivre. D'ici là, encore des images sanglantes du massacre, ainsi que sur le post suivant.
En attendant la revanche, on va allez se faire griller le torse, le tarin, les fesses et les mollets en vacances d'été, bien méritées !
To be continued....
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Le mélange indigeste : tapas et porridge ( l'aile gauche)!
Le 28/06/2017
Les portuguais, paumés dans la pampa! |
2eme post sur notre bien bonne vieille sacrée baston de ce samedi 24 juin.
Notre aile gauche, dirigée par le maître des plaines, Didier Doublemètre (surnommé Didi SevenFoot chez nos ennemis d'outre manche, et du bord opposé de la table), appuyé à sa droite, aux troupes de JJ LeSagévicieux (DjiDji InyourAss chez les porteurs de kilts), avait pour objectif un vaste arc de cercle. Pour une fois que Didier avait de quoi se battre (les 2 parties précédentes, il a traversé la table sans personne en face de lui... z'imaginez la frustration du géant), le voilà donc lancé à tout berzingue à travers la plaine. Le chef portugo anglo landais, Olive Oneyard De Haut a bien laissé trainer un pauvre régt de cav légère lusitanienne. Sous la vague franco Wurtembergeoise le regt a pas fait un pli. A dégager, quai 2 voie 12. Mais bientôt on vit se dessiner devant les troupes de Didier une p***tain de sacrebleu de saperlipopette de diantre de rivière, certes guéable, mais lourdement occupée sur la rive opposée. En effet le reste des troupes d'Olivier, supporter par le centre allié, commandé par Hervé LongHair attendait patiemment la traversée des foux furieux affamés de Didier. JJ de son côté, se contentait d'absorber toute éventuelle avancée du centre ennemi, tout en venant titiller les troupes d'Hervé, avec un canon spécialisé dans le tango (un pas en avant, 2 pas en arrière, 2 pas de travers... tout ça dans le même tour bien évidemment. Euh... c'est écrit où dans la règle?). On a inscrit ses artilleurs à la prochaine saison de « danse avec les grognards » !
La suite a été un peu décousue, sans grande réelle supériorité d'un côté comme de l'autre. Mais j'avoue avoir un peu perdu le fil sur la suite des évènements sur ce côté de la table, étant moi même quelque peu occupé à contenir une attaque fulgurante sur notre aile gauche.
Le prochain article vous décrira tout ça (attention, âmes sensibles s'abstenir, ce fut sanglant).
D'ici là voici quelques images sur ce post et le suivant du combat décrit aujourd'hui.
To be continued....
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Un mélange indigeste : tapas et porridge !
Le 25/06/2017
La scène du massacre. A gauche les frenchies, à droite les tueurs! |
Hier, dans notre fief historique des landes, où a lieu notre dernière baston de Napo sur « Vive l'Empereur », 2 armées se sont livrées une bien belle bataille, rondement menée.
Hervé, et JeanPierre, les 2 affreux bordelais, associés à Olivier notre hôte (bravo à Mme Olivier pour les bruchettas -c'est comme ça qu'on dit?) ont mené la vie dure à Didier, JJ et ma pomme. Ils commandaient une belle armée hispano anglo portugaise, devant laquelle nous menions une armée franco Wurtembergeoise.
JJ, maitre des décors tordus et alambiqués (et question alambic, il maîtrise le vieux grigou) et sur ma requête avait placé une rivière guéable, avec 4 ponts (on se croyait à Venise, sans la pollution).
On va pas laissé durer le suspens : on s'est fait taulé. En gros, notre centre a servi de ventre mou, mais les alliés ne sont pas venus nous chercher.
Notre aile gauche a très bien avancé, jusqu'à cette f***ing river (comme disent les descendants des beatles), où nous attendaient des belles lignes anglaises renforcées de non moins beaux canons ; Ouillouillouille !
Quand à notre aile droite, telle un poste frontière pyrénéen, en pleine période de départ en vacances, elle a été l'objet d'un flux incessant de troupes espagnoles remontées à la sangria frelatée.
Les articles suivants vous décriront les zones du terrain où ont eu lieu ces immondes scènes sanglantes (j'en tremble encore!).
To be continued....
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