3 belles limes pour 5€ environ.

Vous connaissez tous cette pub radio pour Lidl (qui tapes sur le système, et donne envie de couper le son). Le problème, c'est qu'ils disent pas que des ....neries. Et j'en ai profiter pas plus trad que la semeine dernière.
Un lot de limes, idélaes pour le modélisme et donc pour ébavurer tous types de figurines (du 28mm au 54 pour ma part), à moins de 5€ la boite de 10 limes.
Pour le même prix, vous pouvez commander chez Army Painter. Mais là, vous en aurez à peine....3. Seule différence: chez Army painter, le manche est 2 à 3 cm plus long... ce qui n'apporte rien de plus!
Faites votre choix camarades. Moi, c'est fait.
To be continued...
 

Les plaques percées, collées et rabotées!

Aujurd'hui, petit tour dans les bois pendant que le loup n'y est pas. Où comment faire un bois, en mdf, et polyvalent.
Prenez 2 plaques de mdf assez fin (ici en 3mm, si je me souviens bien). Dans 1 plaque vous percez des trous à la scie cloche (et pas lassie cloche, le chien crétin des années 60/70), vous récuperer les rondelles découpées. En gros, vous forez pour votre forêt (humour de bucheron).
Vous collez les 2 plaques ensembles, vous rabotez un peu les angles pour un alignement parfait (ou quasi parfait, un peu comme un ministre irréprochable mais mis en examen). Un peu d'enduit, peinture, flocage et le tour est joué.
Pour les arbres, vous les collez sur les rondelles récupérées. En plus, avec le chien crétin... euh non la scie cloche, il y a un trou de centrage qui se perce automatiquement, et que vous pouvez utiliser pour "planter" votre arbre. Ensuite comme pour la plaque: enduit, peinture et flocage.
Vous obtenez alors un bois avec des emplacements pour les arbres et ça évite qu'ils bougent dans tous les sens. Quand on mets une unité dedans, beh, y'a qu'à déboiser façon amazonie (ou moins selon la taille de l'unité).
On peut même fignoler le truc en collant des fins bouts de feuilles aimantées dans les trous et sous les arbres pour encore plus de stabilité. Un joli petit bois en perspective, non?
Bon, j'y retourne, j'ai des zouaves à finir (n'est-ce pas Arnaud?), et aprés objectif cavalerie frenchie.
Ah, joubliais: "ALLEZ LES JAUNARDS" (10 finales, 1 seule gagnée... on dirait moi sur les partie Napo!)
To be continued...
 

Elle est pas belle, la geisha de ma pitchoune?

Lors de ma visite du salon de la fig de Blagnac, fin 2016 (excellent évènement, soit dit en passant), ma fille m'a demandé de lui acheter (et lui peindre, forcément) une figurine. Aprés moultes discussions, elle s'est amouraché d'une geisha de chez Scale 75, dans la collection Smog riders.

Ne voulant pas juste lui peindre une figurine, j'ai longtemps cherché comment la mettre en scène.

J’étais parti, au départ pour un jardin japonais classique, avec un petit pont et « dessous coule une rivière » (un bras d'eau, tout du moins).

Voyant que la plupart des dioramas de geisha sont avec un pont et un bras d'eau (ils se sont tous passé la mot, c'est pas possible), j'ai decidé de partir sur un jardin zen, avec sable blanc, rocher, et quelques végétations.

Tout est fait maison.

L'arbre a été confectionné à partir d'un squelette en fil de cuivre, recouvert de pate de modelage qui sèche à l'air libre.

Les feuillages sont des mousses classiques.

Le sable est du texturage, acheté chez un grand magasin, qui commence par Q et fini par tuera ! 9A fait direct du sable ; pas besoin de s'emm**** der à mélanger des graviers ou du sable fin et de l'enduit.

Le rocher est un simple reliquat de polystyrène extrudé et retaillé.

Le flocage, beh, c'est du flocage, posé avec un applicateur fait maison, pour que l'herbe soit toujours au garde à vous.

Les fleurs roses : c'est de la craie grattée, pour avoir de la poudre. Un brossage de colle sur les touffes d'herbes et le buisson, et trempé (juste les extrémités) dans la poudre rose.

J'espère que ça vous plaira et vous fera patienter jusqu'aux prochaines figurines empires (pas avant cet été, j'ai bien peur! J'ai une commande Guerre de Sécession en cours)

 

To be continued...

Les 18 au complet.

Encore un bataillon français de terminé, entre 2 tours d'élections (assez pitoyable non?). Un peu dans la douleur, car beuacoup d'activité hors peinture, en ce moment de mon côté. Donc, milles excuses à ceux qui suivent ce blog, pour mon absence ces derniers jours (semaines?).
Il s'agit encore d'un bataillon en bicorne. J'adore vraiment cette coiffure que je trouve plus "française" que les shakos. En plus ça passe partout, et à presque toutes les époques (jusqu'en 1813, dirons nous).
Désormais, je vais abandonner pour quelques semaines le 1er empire car j'ai une commande à honorer qui concerne une autre époque (qui me tente pas mal, bien que j'ai pas mal de lacunes sur le sujet): la guerre civile américaine (ACW en anglais) plus connu sous le terme guerre de sécession (l'art de trouver un mot qu'on utilise jamais, pour dire "guerre civile" - vous avez déjà utilisé "sécession" sans le mot guerre?). Je dois peindre une quarantaine de zouaves aux couleurs du 5éme New York (même pas sur le podium, ils doivent pas être bien méchant... -galléjade à 2 balles-).
C'est du Perry, c'est du plasqtique, et c'est trés bien gravé et détaillé. J'en bave d'avance. Même si ce n'est pas du Napo, je vous ferez suivre les étapes de cette peinture.
To be continued...

Les voilà au loin sur la colline. Sauve qui peut!

Troisième et dernier post sur cette baston épique.
Vous verrez sur ces photos, notre centre qui va dégager les cuir russes de Seb qui se sont perdus au milieu des farnçais, ainsi que les charges "couillues" (comme dirait JP) mais complètement ratés de ma pomme sur la droite française.
Aprés ça, je retourne réviser les chapitres du "petit manuel de la charge de cavalerie qui gagne à tous les coups". Mais où est-ce que je l'ai rangé ce satané de fichtredieu de sacrebleu de 'tain de bouquin?

To be continued...