projet-napo-wagram 28mm
Le Major de promo
Le 31/01/2017
Le "héros" surveille ses arrières. Tu m'étonnes! |
J'ai nommé le célébrissime colonel Jean Eudes Edgar BraieHumide de la CouléeBrune, duc de la Pétoche, Comte de la Trouillomètrazéro, arrière petit fils de son aîeul, un célèbre immigré polonais, Iliochi Jaipeurduski, prince de la Fistule.
Avec une famille comme ça, j'ai au moins une excuse quand je perds une partie.
Mais je me décourage pas, quand on voit les primaires, tout peut arriver...même aux plus mauvais.
To be continued....
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Les joies du bicorne.
Le 30/01/2017
Les fusiliers et le tambour! |
Et comme dans bicorne, y'a bi, beh, je vais en peindre trés bientôt un deuxième (non mais!).
To be continued...
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La guerre à l'aile, la vie est belle !
Le 28/01/2017
Les mouvements de cav autrichiens. Les chasseurs, cachés au loin. |
Suite et fin de notre baston de janvier.
Il ne reste plus qu'à se tourner vers la droite alliée (la notre... vous suivez j'espère?) pour voir comment Didier s'en sort. Après de belles manœuvres de cavalerie, ses hussards (6 escadrons vétérans) flanqués d'un régiment de dragons (5 escadrons L1) sont venus attaquer un moindre regt de chasseurs français, venu se placer devant ses lignes de bataillons d'infanterie et devant ses canons (surprenant non?). Un autre escadron de hussard autrichiens placé sur l'arrière des ces chasseurs a permis de les faire prisonniers. Objectifs numéro un atteint!
Le reste de la tactique que nous voulions mettre en place, à savoir venir charger la ligne de RV, n'a pas eu le temps de se réaliser. Plus vers le centre, RV lançait une charge d'infanterie, à travers le village, sur les restes de bataillons hongrois. Ces derniers comme leur prédécesseurs, ne résistèrent pas très longtemps (repli à travers un autre bataillon hongrois. Bonjour le bordel!)
Il était temps alors de faire le bilan, plus que médiocre de notre partie : les ailes avait assez bien tenues pour notre coté, mais le centre avait complètement explosé. Pour ma part, je considère qu'on a perdu (va falloir des arguments pour dire le contraire). Mais, ce n'est qu'une bataille, et la vengeance sera terrible (oui, je sais, on se répète, mais l'espoir fait vivre!).
To be continued...
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L'aile ou le centre? ....
Le 25/01/2017
Après le bois, direction la baraque. En avant, marche! |
Tout d'abord, une petite correction par rapport aux articles précédents : en fait de bavarois, RV commandait 5 bataillons du Wurtemberg. Mea Culpa (je viens de les reconnaître sur les photos!).
Pendant que Didier sur son aile droite, galopait tel le chevalier blanc, le canon tonnait lourdement sur le centre de notre dispositif (en gros, au milieu, ça bastonnait sévère).
Aprés avoir dégager le bois des chasseurs wurtemburgeois, les 2 bataillons hongrois se reformèrent et chargèrent droit devant eux le bâtiment occupé par un bataillon léger de la même nation.
2 bons coup de pieds aux fesses, et hop la barraque est dégagée. Y'a plus qu'à finir de fourrer la dinde (celle qu'ils n'avaient pas eu le temps de terminer le mois dernier). Il ne restait plus qu'à attendre..... attendre.... l'arrivée des troupes de Didier.
Un peu plus sur la gauche, JP a très vite pris la colline sur la gauche du village, y a placé un canon, 2 bataillons de ligne, 2 bataillons de la garde, un regt de lancier Rouge et 1 regt de Dragons. Il était évident que tout ce petit monde aller venir chauffer les côtelettes de mes Autrichiens. D'ailleurs, ceux-ci se regarder tous du coin de l'oeil, se demandant sur qui la foudre aller tomber. JP, généreux et magnanime décida que tout le monde méritait ces châtaignes (un peu comme l'école des fans version Fight Club). Les grenadiers allemands, le canon de 6 £, tout ce bel ensemble fût charger et balayer en 2 temps 3 mouvements. Argghhh. Notre centre était percé. D'ailleurs on a pu voir pas mal de fuite !
Encore plus à gauche, JJ « flippait grave » en entendant au loin les cris d'horreur et de douleur des victimes de JP. Plutôt qu'attendre de recevoir la même punition, JJ, grand stratège, envoya au charbon une triplette d'escadrons de chasseur à cheval, face à 2 regt de cuirrasiers et 1 regt de carabiniers français. Il paraît que les vieux grigous, ça ose tout ! (c'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnait). Donc JJ vieux grigou, a mis un sacré « foutoir de bordel » dans le bel alignement français. Mais JP, a réussi à regrouper et reconcentrer ses troupes vers leur objectif, qu'il atteignit (ouh put*** c'est difficile à conjuguer ça!) en fin de partie. J'avais ne pas avoir bien suivi ce coté de la table sur les 2 derniers tours, mais voyant le sourire béat de JJ au moment de ranger les figurines, j'ai compris que quelques charges russes, assaisonnées de boulets de 12£, ont fait de beaux dégâts dans les rangs français. Bravo JJ.
Restait maintenant à voir ce qu'il se passait sur l'aile droite autrichienne.
To be continued...
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En Napo aussi, l'important c'est les préliminaires.
Le 24/01/2017
L'aile droite teutonne à la manoeuvre. En face la défense est en place |
omme dit précédemment, Didier s'en allé donc, vagabondant dans la plaine, ramassant les marguerites et essayant surtout de se placer du mieux possible pour venir « cartonner » la gauche française (tel un Hamon, un soir de primaire présidentielle). En face RV, avait bien vu le géant arriver (tu m'étonnes, t'as vu la taille de la bête ?), et a mis en place une défense quasi imparable (2 canons de 8£ falnqués par des bataillons en colonnes et un régt de chasseurs en soutien (mais en fourrageurs – vous comprendrez plus tard l'intérêt de cette précision). Quelques 7 ou 8 tours plus tard, Didier et ses teutons arrivaient non loin de la ligne française.
Pendant ce temps, à l'aile opposée, c'était JP qui avançait et rien ne semblait vouloir l'arrêter, si ce n'est un satané bon sang de sacré vindiou de dioubiban (les béarnais savent comment ça se prononce) de canon de 12£, placé par les bons soins de JJ sur une hauteur surplombant la plaine. Les boulets fusaient, ricochaient, découpaient les jarrets, décapitaient les têtes de colonnes, écharpaient.... bref, faisaient ce pour quoi ils étaient payé. Mais rien à faire, JP et ses troupes avançaient encore et encore, lentement mais inexorablement. JJ suait à grosses gouttes en attendant le choc. Et soudain, l'illumination ! Comme quoi, y'a pas d'age pour devenir futé. JJ a trouvé comment ralentir les bataillons et la cavalerie lourde frenchie. Nous y reviendront.
Plus au centre, ma pomme n'en menait pas large non plus, car seuls 3 bataillons de grenadiers voyaient arriver sur eux 4 bataillons d'infanterie (dont 2 de garde) et 2 regts de cavalerie (1 lanciers rouges, et 1 dragons). Ca allait cogner sévère. Entre le centre et l'aile de Didier, les hongrois se sentaient plein d'entrain, et se lancèrent à l'attaque d'un bois médiocrement occupé par des chasseurs bavarois perdus à ramassés des champignons. Faute de cèpes, les hongrois leur ont donc apportés des marrons chauds.
Ce fut le seul vrai fait d'armes du début de partie... mais la vrai bataille n'allait pas tarder à avoir lieu.
To be continued....
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