Les figs après le désastre! Snif snif.

Hier soir, après un petit apéro pour bien commencer le weekend, je décide de poser la dernière couche de vernis mat sur les pauvres 6 malheureuses figurines que j'ai trouvé le temps de peindre pendant cet été (très agité pour moi -l'été pas l'apéro- mais ça c'est une autre histoire!).

Je m'isole donc quelques minutes dans la pénombre de mon garage à une heure tardive et je balance une bonne couche de vernis en bombe. Je trouve le jet plus blanchâtre que d'habitude mais bon, « ça fait quelques semaines que je ne m'en suis pas servi, donc j'ai peut-être perdu l'habitude » me dis-je.

Après une bonne nuit de sommeil et de séchage (pour les figurines et moi, dans l'ordre que vous pouvez imaginer), je vais vérifier l'état de l'ensemble.

ARRGGHHH, mon cœur, s'emballe, je vacille, ma vision se trouble, je défaille, et m'accroche au siège sur lequel je peinds en temps normal. Mes figs sont complètement recouverte d'une couche de peinture blanche. Quel est le satané enc... de sal...pard de p...tain de m***de qui a fait ça ? Je joins immédiatement l'Elysée (Hollande, Valls, Cazeneuve, bref la « crème de la crème » en lutte contre le terrorisme... un peu avariée la crème, tout de même), j'appelle la CIA, les chinois du FBI, le NCIS et les Experts Toulouse.

Une enquête rondement menée nous fait découvrir que dans mon élan et mon état second (non zépabu! Hips!), j'ai confondu la bombe de vernis et la bombe de sous-couche blanche. Re ARGGHHH. Illico presto la bombe blanche au rebus et celle de vernis, isolée pour éviter ce genre de malheur une nouvelle fois

Vient maintenant à trouver comment rattraper ça. Ma glotte tremble : tant d'heures passées sur cette peinture, à jeter à la poubelle. Sniff, sniff.

Pour me remettre, je décide de « m' isoler » au milieu d'un centre commercial, seul (à quelques milliers de péquenots prés, qui comme moi, déambulent dans les rayons), en vue de préparer la rentrée des classes de ma pitchoune (qui l'est de moins en moins... pitchoune). Pourquoi ne pas passer au rayon, produit illicite à ne pas boire et droguerie et la je vois le nettoyant express spécial colle et peinture. A 4€ le litre, pourquoi ne pas essayer ?

Miracle ! Appliquer pur au pinceau, la couche blanche disparaît. Je préfère rincer tout de suite à l'eau claire, des fois que le produit fasse du zèle et supprime aussi la belle peinture des mes franchouillards, séchage au sèche cheveu, et vernis dans la foulée.

Tout est bien qui finit bien. Une bonne expérience dont je me serais bien passer, mais désormais j'ai une solution pour rattraper mes conn... euh mes bêtises. (je fais gaffe, à chaque mot grossier je dois 10 centimes à ma pitchoune... elle perds pas le nord la carougne).

Bon ceci étant, JO et grosse chaleur m'accaparent. Donc retour à la peinture avec parcimonie. On s'y remettra vraiment dans quelques semaines.

To be continued...

Un vrai suisse, c'est rouge et c'est fier!

Vu précédemment, mon voltigeur s'est refait une beauté en vue du défilé du 14 juillet de demain.
Passage au vernis mat, par dessus le vernis brillant vu sur un ancien article, mise en place sur un socle tout fraîchement acheté chez mes amis de la Sabretache de Toulouse.
Confection d'un placard descriptif, aux couleurs des voltigeurs, et impression sur papier photo brillant (faudra certainement que je revois cette plaquette, un peu plus tard!).
Et voilà mon suisse fini.
Les vacances étant désormais bien avancées, pas sûr que le peinturlurage avance beaucoup ces prochains jours, mais on va quand même y réfléchir... à l'ombre, et accompagné d'une boisson fraiche et mousseuse, issue du houblon!
To be continued...

Ils sont tous là!

Enfin une victoire sur l'Allemagne ! Il paraît que ça faisait 58 ans qu'on avait pas vaincu des Allemands. Mais il y a un victoire encore plus célèbre.

Et oui il y a 217 ans à 2 jours prêts, la France écrasait des Allemands. Certes il s'agissait d'allemands d'Autriche, mais des allemands tout de même A l'époque les allemands d'aujourd'hui, s'appelaient des Prussiens, et eux ils nous ont bien écrabouillé à Waterloo.

Bref, pour rendre hommage aux valeureux guerriers d'hier soir, roi du péno pas sifflé, et du hold up limite-limite, voici un nouveau bataillons de Bleus.

Ceux-là ils sont pas 11 mais 18, et de toutes générations !

Mais ça gagne quand même, et c'est ça qu'est bon !

J'en ai encore 2 comme ça à faire, suivi de 3 légers. Donc j'y retourne !

To be continued....

Les hussards vont fesser les lanciers de la Vistule. Merci les Uhlans!

4eme et dernier volet du CR du rapport du retour du bilan du feedback de la baston de l'autre samedi 18 juin (pas celui de l'appel, pas celui de Waterloo, mais celui des héros des Landes... bref notre bandes d'affreux pousseurs de plomb), le centre de la table.

Coté « Les Bleus » se trouvait JJ, le magicien, capable de passer l’après midi à faire des 6 aux dés sans que personnes ne puissent contester. Capable aussi de former un carré dans un bois (ben voyons) ou de convaincre 2 belles et jeunes infirmières de lui raser le corps des genoux au cou. Face à lui, un monstre du Napo. El cabalierro JP, dé la bordelucha, roi de la charge contre l'artillerie, et perceur des plus terribles colonnes d'infanterie.

Bref, nos 2 champions se sont retrouvés au centre du dispositif avec une belle colline, entre les deux. Un bois chacun d eleur coté. Objectifs pour nos 2 belligérants : prendre la colline, pour y placer une batterie d’artillerie et avoiner tout ce qui peut représenter une menace. Bref, n'importe quelle unité ennemie !

JP a été plus rapide que JJ, et a réussi a envoyé 2 bon gros regt de cav autrichiennes, notamment 1 regt de hussards classé V, à 6 esc. Largement plus nombreux que les quelques 3 esc de cav polonaises, qui d'ailleurs se sont bien gentiment effacé. Du coup JP a placé son canon, mais pas suffisamment bien pour provoquer suffisamment de dégâts sur les troupes de JJ. Du coup, le vieux sage a déployer ces dragons en fourrageurs pour pouvoir traverser un bois et venir menacer notre canon de 12 posté dans la plaine. Malheureusement pour lui, JP a dare dare ramener ses hussards et a laissé croire à JJ que ces dragons allaient subir une charge. JJ inquiet, repli ces dragons et nous laisse la plaine libre. Mais, le grigou ne comptait nous laisser la partie si facile, et il a lancer 3 bataillons de ligne contre 3 pauvres bataillons de hongrois situés au pied de la colline. Le choc fut terrible, digne du KO de Ma'a Nonu en demi finale, face à Montpellier ! Et voilà 2 de nos 3 bataillons qui filent illico presto en déroute au centre de la table. C'est la seule percée que réaliseront nos adversaires, puisque sur la colline, JP préparait un autre de ces coups d’anthologie. En effet, 3 bataillons de grenadiers allemands et un bataillons de grenadiers hongrois avait pris position pour protéger le canon qui avançait à la bricole, pour être plus efficace. Ces troupes d'élite subissaient un tir bien nourri, autant nourri que l'auteur de ces tirs, à savoir Olivier (pastisovore, pizzahovore et bouffovore tout court), qui avait une batterie installée sur une autre colline sur notre gauche. Plutôt que de se faire haché menu menu, JP lance ces bataillons à la charge sur les bataillons de JJ qui tentaient de monter sur la colline. Bingo, les bataillons bleus perdent le combat. La percée aurait pû être plus impressionnante si le temps nous avait permis de faire quelques tours de jeu supplémentaires. Mais la pluie avait cessé, et il fallait donc en profiter pour reprendre la route, se quitter bon ami malgré tout, et se dire que « ENFIN, ON A REUSSI A GAGNER AVEC NOTRE ARMEE AUTRICHIENNE ! »

Avec JP, on avait prévenu avant cette baston « Fallait pas nous énerver à la dernière baston, non mais ! »

Ceci étant, les éléments de terrain nous ont un epu avantagé. Et quelques placement de troupes ennemis, nous ont également aidés. Autre truc, qu'on avait déjà constaté avec JP et qu'on avait du mal à mettre en place, c'est d'utiliser la cavalerie autrichienne AVEC l'infanterie (c'est à dire un placement alterné : infanterie cav, infanterie, cav, etc...), et non pas comme l'armée française en brigade ou division dédiées (uniquement cav ou uniquement infanterie).

Bref, 1 partout, la balle au centre.

Prochaine rencontre, après l'euro, après le Tour, après la bronzette (si le soleil retrouve le chemin de la France), après les manifs de Moustache, après le Brexit potentiel. En gros, à la rentrée. J'ai eu oui-dire qu'un amalgame russo italo albionesque couvait du côté du Béarn palois.

To be continued...  

Les grenzers en déroute, mais les cuir vont les venger...Gnerkgnerk

3eme volet de la baston qui fera date, qui a eu lieu le weekend dernier.

Sur l'aile gauche française, se trouvaient ma pomme, et en face de moi, Sébastien, grand reconstitueur devant l'éternel, et qui ne comptait pas me laisser manoeuvrer comme je l'entendais.

En effet, très rapidement il investit une colline et le bois attenant à cette colline, avec moultes bataillons de ligne et une belle batterie de 6£, destinée à nettoyer la plaine située au centre de la table, ainsi que toutes les unités ennemies (les miennes, donc, en majorité) qui s'approcheraient un peu trop. A l’extrême droite de la table (la droite autrichienne), et donc à droite du bois occupé par Sébastien (suivez, sinon ça va être compliqué!), s'élevait une petite colline. Mon plan étant de manœuvrer de flanc avec ma cav pour me rabattre vers le centre et soutenir une poussée de mon infanterie, j'envoyer sur cette colline mes 2 régts de cav, à savoir 1 régt de cuirassier à 5 esc, embrigadé à 1 rgt de hussard à 4 esc (tout ce petit monde classé Vétéran – V). Sébastien, qui n'en est qu'à ces premières parties avec nous, s'est immédiatement mis en carré devant ma cav, et à fait reculer ces 2 regt de cav légères (dont un chevau léger entre les carrés ), trop faible car classé Ligne1, avec 1 regt de hussard qui est venu traverser le bois occupé par un bataillon d’infanterie légère française (manœuvre qui m'a bluffée). Autre manœuvre, qui la perdu je pense : il a réorienté sa batterie de 6 vers la colline occupée par ma cav, et a mis ces bataillons en carré sur la colline qu'il occupait. Du coup, j'ai lancé à l'attaque mon infanterie en attente dans la plaine, vers ces carrés qui me tendaient les bras. J'ai en même temps ramener mon regt de cuir, vers le centre, comme prévu dés le départ, et j'ai laissé mon regt de hussards sur la colline, histoire d'attendre ce qu'il allait se passer.

Un peu dérouté, Sébastien à reformé un carré en colonne, en attente de l'arrivée de mon infanterie. Bien joué.

La situation semblait désormais bloquée. Mais c'était sans compter sur le vice qui me caractérise. J'ai mis en première ligne devant son bataillon de ligne reformé, un bataillon de Grenzer (infanterie classé M, donc assez faible). Sébastien est tombé dans le piège, et s'est immédiatement lancé à la charge sur ces pauvres Grenzers, sacrifiés par votre serviteur, puisque je leur ai fait effectué une esquive que je savais insuffisante : ils ont été pris de dos. Une boucherie certes, mais mon regt de cuir en attente s'est lui lancé sur une charge du bataillon de ligne français et l'a taillé en pièce, alors qu'il effectuait un « Sauve qui peut ». Le trou était fait.

Sur la colline, nos infanteries respectives et son regt de hussards (désuni aprés son passage par les bois et à travers un train d'artillerie) se sont bien frité dans un combat complètement stérile, chacun reculant de 2 cm, et perdant des crans de cohésion. Là encore, je pense qui si Sébastien avait donner un ordre de cohésion à ces hussards, il aurait pu me charger à pleine puissance et me faire replier.

L'heure tardive du jour ne nous a pas permis de voir la suite des évènements. Mais vraisemblablement que mes cuir aurait continuer leur chevauchée pour apparaître derrière les lignes Sébastoïdes.

A ma gauche, c'est à dire au centre de la table, un ebelle empoignée avait lieu entre 2 monstres du jeu Napo de notre bande, les bien nommés JJ el mago, face JP el cabaliero. Mais cela sera le sujet d'un ultime rapport.

To be continued...