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Tout est dans le titre. Vous faire suivre mon projet de réalisation d'un diorama avec des figurines de 28MM sur la bataille de Wagram en 1809, partager et échanger.

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Perçage, contre perçage, ébavurage, et tout le toutim...

Le 23/04/2016

Le même en grande tenue, prêt pour la sous couche! Vous le voyez le petit bout sur l'épaule? En voilà un, qui souffrira pas de constipation... hihihi. Et c'est là qu'on contre perce. C'est là qu'on perce!

Le même en grande tenue, prêt pour la sous couche!
Le même en grande tenue, prêt pour la sous couche! 
Lors de notre dernière baston, une fois de plus un cavalier (parmi d'autres) est resté entre mes doigts engourdis, alors que son cannasson ne semblait pas vouloir bouger de son écurie mobile, à savoir, les boite de transport de figurines de l'affreux JJ.
Certes, les figs de JJ ont quelques années d'expèrience, et plusieurs dizaines années de bastons gagnées à leur tableau de chasse (ça peux peut-être expliquer les fessées qu'on prends ce sderniers temps!). Donc le décollage de certains cavaliers peut se comprendre. De plus, chez Perry (meilleur rapport qualité prix, pour la cavalerie 1er empire, à mon humble avis -AMHA comme écrivent les geeks), tout est en kit: cheval/cavalier/pélisse.
Pour ma part, j'ai définitivement adhéré à la technique du perçage et contre perçage, ce qui permets de faire tenir ses cavaliers (et autres accessoires) bien en place pendant plus longtemps.
Quelques photos vous montrent tout ça.
1- bien viser où il faut percer le cheval.
2- mettre un bout de trombonne, et venir presser le cavalier sur le bout de trombonne qui dépasse. Ca fait une petite marque sur "les fesses" du cavalier. On peut s'aider d'un petit bout de patafix, pour bien cibler l'endroit où percer le cavalier.
3- on contre perce le cavalier. Une pointe de colle super glue et le tout tient bien en place.
J'applique le même principe pour la pellisse qui vole au vent (au vrai sens du terme si vous fixer le tout fermement). Par contre, "meffiat !"(comme on me disait dans ma jeunesse, dans mon Béarn natal!), l'épaisseur de la pélisse est très faible, et donc, on a vite fait de passer à travers (comme dirait Laurent Blanc, au débrief d'un 1/4 de finale de Champions League).
4- on perce l'épaule du cavalier, on mets un bout de trombonne qui dépasse très peu. Mme Odette, muse de JJ, aurait complété : "mon petit hussard, ton petit bout qui dépasse va me satisfaire plusieurs années".
5- la pélisse sur l'épaule, bien mantenue et qui bouge pas d'un poil.

J'ai vu sur certains blogs et autre Youtuberies, que certains puristes complètent tout ça avec un bout de Greenstuff (vous savez la pâte bleu et jaune, qui une fois mélangée devient verte et durcit aussi dur qu'un sous marinier qui rentre de 90 jours de haute mer, à  500m sous le niveau de la surface.
A cette échelle, 28mm, je trouve que c'est un peu du luxe (surtout au prix du produit, sur une armée complète).
Bon, j'y retourne. maintenant que tout est fixé, il reste à peindre. Les photos arriveront bientôt.
To be continued...

 

un jour sans... épisode 4 bis

Le 10/04/2016

Des soutiens, qui se font troués par la mitraille. Quand ça veut pas.. Didier fait les comptes: "C'est bon, j'ai tout explosé je crois". Les russes reculent, reculent, et tombent sur leur c.. L'ampleur du massacre, ou comment faire le vide, vite fait!

Des soutiens, qui se font troués par la mitraille. Quand ça veut pas..
Des soutiens, qui se font troués par la mitraille. Quand ça veut pas.. 
Le reste des photos détaillant l'action sur l'aile gauche franco russe. Âmes sensibles s'abstenir.
To be continued...

 

un jour sans... épisode 4

Le 10/04/2016

La colline qu'il faut prendre. Z'avez vu l'engin! La cavalerie russe face aux "monstrueux" espagnols. Les hussards sans peur étripent l'artillerie russe. Ouyouyouille Oups, y'a du monde sur les hauteurs. Pas grave, on y va aussi! Le gégène de corps va disparaitre. Les russes aussi, mais plus tard!

La colline qu'il faut prendre. Z'avez vu l'engin!
La colline qu'il faut prendre. Z'avez vu l'engin! 
Et nous voilà au coeur du malheur que Sébastien et votre serviteur avons subit dimanche dernier. Toute l'action se déroule sur l'aile gauche des Franco-Russes, devant lesquels l'ignoble et sanguinaire Didier Roi du Pastis landais (pour ceux qui croiraient que Didier aime l'apéritif anisé, je rappelle que le pastis Landais est un gateau qui fait notre bonheur, et surtout celui d'Olivier, à chacune de nos bastons) avait déployé toute une brigade de cavalerie et 2 brigades surpuissantes danoises.
POur ma part (car c'est sur moi que Didier s'est défoulé), j'avais 2 brigades russes et 1 brigades de cav légère (très lègére d'ailleurs) russes elle aussi.
C'est là que le "jour sans" tiens toutesa valeur . En effet, j'avis décidé de m'emparer de la colline situé entre nos 2 armées pour y placer un canon de 8£. Pour celà j'avais gardé un canon de 12£ au pied de la colline, qui a certes envoyé quelues beaux pruneuax sur les batailons anglais de JJ, mais qui aurait exprimé tout son potentiel sur notre aile droite (ce que j'ai esquissé dans le précédent article - suivez svp, sinon on va pas s'en sortir). Malheureusement, est-ce le vin frolatté bu la veille devant les programmes extraordinaires de notre télévison nationale, est-ce le changement d'heure  qui ne sert qu'aux vendeurs d'horloge, mais me voilà qui fait traverser la table à ma batterie de 8£ sans aucun renfort sur son aile gauche. Le général Didier n'en attendait pas moins et saute sur l'occase (un coup comme ça, c'est comme les 6 chiffres du loto, ça n'arrive qu'une fois), et envoie une charge de ces hussards qui explose l'arrière (pour ne pas dire plus de mon attelage). 1-0 pour Didier.
En parallèle de cette grossière erreur de débutant, j'avais également avancer toute ma cav légère sur mon extrème gauche (je parle de la table, pas de Mélanchon!), ainsi que quelques escadrons de cosaques, histoire de venir ralentir la force de cavalerie adverse composée de Garrochistas (des pipas comme on dit chez nous), mais également de dragons légers et de grenadiers montés espinguins. 2eme erreur de ma part, tous mes escadrons ont été trop avancés et du coup, à portée de charge de Didier l'écarrisseur. Voyant mon erreur (de débutant, oui je sais) je décide faire effectué un "Sauve qui peut" à mes hussards et mes chasseurs à cheval, objet des déclarations de charges de Didier. Quelques escadrons de cosaques ont également effectuée ce pas de danse tant connu des joueurs de "Vive L'empereur"  (le Sauve qui peut qui tue). 3 eme erreur: je pensais avoir assez de mouvement pour échapper aux grenadiers montés, mais j'avais oublié (ou pas vu) juste un truc: Les grenadiers étaient classé Elite, ce qui leur donne un supplément de mouvement de 6 cm. Et là patatras, tout les grenadiers arrivent donc au contact, dans le dos de mes escadrons qui explosent en plein vol. Tout ça à cause de ma 4eme erreur (qui en fait est ma toute première), puisque j'avais oublié les listes d'armée à quelques 200 km de là, dans les environs Toulousain, et donc je n'avais pas l'ordre de bataille ennemi sous les yeux, ni en tête. En revanche ce que j'ai pris en tête c'est les coups de sabres des ibères, tels des toréros voyant le toro qui courbe l'échine.
Revenons sur la colline, car toute bonne branlée finit toujours en apothéose (comme il est écrit au dessus du lit de Mme Odette, la muse de JJ). Ma brigade russe, composé de troupes classé L1 en majorité, s'est retrouvé face à la brigade Danoise classé Vétéran en majorité. Cette différence aurait pu s'annuler car j'avais quelques bataillons en soutien, et qu'en plus,sur le tir de fantassins précédent la charge danoise, un 6 au dés a envoyés le général de corps ennemi à la droite de Dieu et de Coluche, et dans le sillage de Jean Pierre Coffe. J'étais donc assez confiant, trop certainement, puisque j'ai préféré faire un tir face aux charges danoises plutot que contre charger voire tenir sans tirer (ce qui donne un +1 au combat). Un eerreur de plus certainement. Bref, tout mon petit monde s'est fait bousculer, a reculé, s'est retrouvé dans la pente de la colline ce qui au 2eme tour de combat a fini par nous achever. Un "jour sans", je vous dis.
Le soleil commença alors à se coucher, et nos portables commencèrent à sonner. Bref, nos cantinières s'impatientaient. Pour ma part j'avais ma dose de baffes, et même le sourire de Sébastien ne calmait pas mes rougeurs au fondement. Merci Sébas pour le soutien, et encore désolé de la prestation minable. Côté positif: je t'ai montré tout ce qu'il fallait pas faire!
Quelues photos pour vous montrer l'ampleur de dégats. D'autres vont suivre dans l'article qui suit (beh oui, sur ce blog pas plus de 5 photos à la fois, c'est pour éviter de vous faire trop peur devant le massacre).
Ceci étant, je retourne à mes pinceaux histoire de renforcer mon armée autrichienne. la vengeance sera terrible.
To be continued...

 

Un jour sans... épisode3

Le 10/04/2016

Le canon grimpe, bien encadré par les wurtembourgeois. Le 2eme canon bien encadré, tout à droite. Du 12£ aurait été mieux... La colline, vue de drone. Au fond, les toréros déboulent. JJ dubitatif: "La messe ou la fessée à Sébas... j'hésite, j'hésite..." JJ a les jetons. Trop tard pour les Lanciers Rouges (bas de la photo).

Le canon grimpe, bien encadré par les wurtembourgeois.
Le canon grimpe, bien encadré par les wurtembourgeois. 
Comme dit précédemment, les ailes de notre baston dominicale étaient "the place to be", comme disent certains blingbling dans les travées des tribunes du PSG, certains dimanches soir d'élections.
Sur l'aile droite française, il y avait donc l'excellent Sébastien, qui, lorsqu'il ne se déguise pas en voltigeur, et ne mange pas de la poudre de salpêtre en guise de sel, le soir, aux abords de la haie Sainte, chaque 18 juin, s'occupent à peindre (assez bien d'ailleurs) des français de chez front Rank, et vient se frotter à JJ, le perfide, qui aime bien hacher menu les jeunes bleus tout frais moulus.
L'objectif pour nos deux affreux était une énorme colline toute en longueur, au centre de leur aile. Sébas avait pour ça 2 brigades d'infanterie (une Wurtembourgeoise, et sa brigade française qui sentait encore la Vallajo pas sèche) ainsi que 2 canon de 8£, et soutenu de qulques cavalerie légère dont un régiment de Lanciers Rouges.
JJ le perfide, alignait 2 brigades d'espinguins, de vrais toréros (de la garde, du grenadier, et même du suisse me semble-t-il), un canon de 12£ (rien que ça) et un renfort, arrivé tardivement, de cavalerie (dargons lourds + hussards KGL).
Bref, le salon de l'intelligence personnifiée.
Quand tout ce beau monde est arrivé sur la colline, chacun de leur côté, la présence des canons a un peu calmer les ardeurs de chacun. 
On a bien vu les Lanciers Rouges (de colère) venir dégager le bas opposé de la colline , mais la présence des dragons lourds (rappatriés en urgence) dans le village, situé à quelques encablures, n'a pas permis à Sébas d'exploiter cette manoeuvre.
Du coup, plus personne n'a vraiment bougé.
C'est à ce niveau là qu'une partie du "jour sans" a lieu. On a pas vu (et j'en prends une grande responsabilité) que notre canon de 12£ aurait été beaucoup plus efficace sur la colline à l'extrème droite, histoire de balayer la colline en vis à vis, et nous permettre plus de liberté de manoeuvre.
Et pendant que JJ et Sébas, taillaient la bavette, au sujet de l'alinéa 27bis, de l'amendement 43 ter, de l'article 56 de la loi ElKomri (à savoir: comment occuper ses dimanches matins quand on veut pas aller à la messe!), on entendait au loin sur l'aile gauche française, tonnait le canon. A priori, ça cognait dur par là.
Mais cela fera l'objet d'autres articles.
To be continued...

 

Un jour sans... épisode2

Le 10/04/2016

Une plaine, un canon, des bataillons anglais, et le tour est joué. Didier:"ils vont venir, j'te dis"  - JJ: "beh moi, je dis que non!"

Une plaine, un canon, des bataillons anglais, et le tour est joué.
Une plaine, un canon, des bataillons anglais, et le tour est joué. 
Comme dans la plupart de batailles, ce qu'on regarde en premier, c'est le centre du champ de bataille. Et dimanche dernier, on a regardé le centre, et regardé, et regardé... et pas vu garnd chose qui bouge.
En effet, le perfide JJ et sa perfide armée alibiono statique, nous attendaient de pied ferme, nous (Sébastien et moi-même) avec nos brigades farnçaises et notre cavalerie (dragons et cuirrassiers). Un beau canon de 6£ avait pour objectif de nous découper en morceau, et nous préparer en farce pour le prochain Thnksgiving! Autant vous dire que les franchouillards sont courageux mais pas téméraire. Docn un énorme stut quo a rempli notr edimanche sur cette partie là de la table. Une vaste plaine, (ponctuée de 2 villages et d'un petit bois occupé par les légers de Sébas), avec une énorme vide (en gros, une plaine pleine de vide).
Le gros de la bataille allait donc se situer ailleurs, et si c'est pas au centre, beh, c'est forcément aux ailes, bandes de cancres!
Mais ça fera de prochains articles.
To be continued...

 

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