projet-napo-wagram 28mm
La légalisation de l'herbe!
Le 21/02/2016
Ah saleté, y'a des rats sur l'emballage. Mais à ce prix là... |
Pour revenir à mon projet (que j'oublie pas, bien que j'en parle pas si souvent que ça sur ce blog), je cherchais comment floquer des plaques de décors (que je vous montrerai trés trés prochainement), "à pas cher". Un petit tour sur la toile (internet ou le web pour ceux qui ne parlent pas le language usité dans les années 90), et j'ai trouvé mon bonheur. Comme la solution trouvé était dans la langue de Shakespeare (vous savez le grand auteur de théatre, dont on parle plus dans les écoles), je vous donne ici ma manière de faire.
1- petit passage dans un magasin de bricolage ou une animalerie. Direction, les litières pour chats, chiens, rats (beurk... j'ai la phobie des rongeurs!), et vous achetez de la litière sous formes de copeaux de bois (pour info, environ 3€ les 4kg). Attention, prendre la litière sous formes de petits tubes ou rouleaux (voir photo) et pas sous formes de sciure grossière.
2- prenez une bonne poignée de cette litière, mettre dans un récipient et verser dessus de l'eau bouillante. Laisser agir. Les copeaux du style petit tube, vont gonfler et "éclater" pour devenir une espèce de bouillie de sciure.
3- laisser sécher sur une bonne page de papier de pubs de m.... qui remplissent nos boites aux lettres.
4- dans un fond de bouteille (ou tout autre récipient, autre que le vase que votre dulcinée garde en réserve, des fois que vous lui achetiez un beau bouquet de fleurs... et oui, j'ai encore fauté pour la st valentin!), préparer un jus de peinture vert (vert clair, vert foncé, ou autre, on peut tout faire comme couleur!). Verser la "sciure" dans ce jus et touiller, jusqu'à ce que la sciure ait "pompé" cette peinture (comme dirait Mme Odette, l'amie de JJ de chez "dunapodanslair", en recevant un sapeur du génie armé de son "pinceau" à la main).
5- laisser, encore un fois, sécher toujours sur le même papier de m.... précédemment décrit.
Et voili, voilou, un bon paquet de flocage. Prix, de la litière + peinture: moins de 10€! Dernier petit conseil, pour les débiles et les attardés: la litière, il faut qu'elle soit neuve et non utilisée... à moins que vous souhaitiez avoir le premier flocage odorant, à l'odeur du jeune "marie louise" qui s'est fait dans le pantalon, en voyant arriver une charge de cuirrassiers russes, dopés à la vodka (re clin d'oeil à JJ).
Allez je vous laisse, je vais désormais finir mes grenadiers allemands et paufiner mes décors.
To be continued....
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Dernier Rapport de bataille
Le 29/01/2016
Le Russe charge. Le grenzer soutient. Tout ça va finir le "Q danlo". |
Lettre du soldat Aymé Lafaissé, voltigeur aux 69eme rgt d'infanterie, sous les ordres des généraux Gipaie, Prince de la Vinasse, et Olivard Comte du Foigrat et du Passetisse.
Très chère mère,
Nous avons eu, il y a quelques jours, une grosse bagarre, et maille à partir avec des sacrés combattants venus de l'Est et du Nord de l'Europe.
Ça a tombé dur, que tous mes camarades de compagnie ont fini à moitié sourds tant le canon donnait au dessus de nos têtes.
Nos deux généraux, des sacrés vétérans, qu'en ont vu des vertes et des pas mures, nous avaient mis sur une hauteur derrière le rivière Sityplongetémouyé. J'avais les arpions bien gelés, vu que mes sabots avaient fini dans la fange de la rivière lors de notre traversée. Heureusement, le premier boulet ennemi envoyait bouler (c'est normal pour un boulet) la tête des 2 de mes camarades pas loin de 50m derrière notre bataillon. J'en profitait pour récupérer des bottines qu'un des deux avait dérober à un vieux cosaque russe, saoul à la vodka (ça vaut pas notre armagnac local, qui me manque de plus en plus).
Sur notre colline, on avois pas mieux pour voir ce qui allait nous arrivez dans la trombine. Du vert à pied et à cheval, du bleu et jaune qui débarquait du grand nord, baissant la tête aux aboiements d'un général géant, qui paraît se nomme Didieribellgifle, et du bleu de pruse,qui venaient nous rendre la monnaie de la pièce qu'on leur avait laissé à Iéna. Mes genoux en tremblent encore, et pas qu'à cause de la bise allemande (qu'à rien à voir avec les fraulein qu'on a croisé).
Ils se sont mis en tête de nous arrosé bien dru à coup de boulet de 9 et 12£, et nous, braves qu'on est, on attendaient.
« Tenez bon, qui disait le sergent .
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Moi je veux bien, qui lui répond, mon ami Gérard Mensoif, mais tenir quoi? T'as vu la taille des boulets, mon sergent?
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Tenez bon, serrez les rangs, les coudes et les fesses, et ils passeront pas! Morts aux cons, mes braves »
Moi, vue la disparition de mes camarades à hue et à dia, j'avais pas la possibilité des serres les rangs et les coudes. Je serrait donc le reste, et je mettait ma baïonnette en place des fois que.
J'avais eu le nez creux.
Dans la fumée de scanons on a vu arriver de sombres qui parlait pas du tout français. On s'est dit que si on descendait pas la colline, on allez encore en prendre plien la figure. Du coup on les a cueillit juste au passage du gué, et on leur a bien planté nos pointes dans le lard. Mais c'était du russe et du Suédois. C'est comme le chiendent, t'en tue un yen a trois qui repousse. Et même mort ça reste debout! On s'est mis une bonne peignée. Et on leur a remis le cul dans la rivière.
A notre gauche, mon camarade de Bivouac, Henri Voli, voltigeur dans le 51 léger (servi avec beaucoup d'eau), devait tenir un pont que nos allié polacks à cheval et aux habits rouges avaient lamentablement abandonner la queue entre les jambes.
2 satanés bataillons de grenadiers russes avaient parié un tonneau de vodka qu'ils prendraient
ce pont. Bien mal leur en a pris. Mon ami et ces camarades, leur on mis une reculade digne des mêlées de la soule, où les gars des îles du Sud, vont nous en faire voir de toutes les couleurs dans quelques centaines d'années.
Quand la nuit est arrivée, la fatigue m'a envahi, et tout nos bataillons aussi. Ma chère mère, j'men vois incapable de dire qui a vaincu l'autre. Nos généraux semblaient stisfait de leur journée. Mais les gars d'en face avaient pas l'air mécontents non plus. La première récompense du devoir accompli, c'ested l'avoir fait. Moi, comme récompense, j'ai pris quelques heures de repos au pied d'un chataigner (et des chataignes, ce jour-là, on en a vu).
J'ai eu ouidire, par un grenzer autrichien, qui parlait parfaitement la langue d'oc, que son Etat major allait repartir en quête d'unités à former (voire de plomd à peindre).
Y'a fort à parier qu'on va les retrouver bientôt au coin d'une autre bagarre bien carabinée.
Ndl'A: to be continued...
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3éme Rapport de bataille à sa majesté le Tsar Lekteurdeblog, empereur de tous les réseaux.
Le 28/01/2016
De gauche à Droite, chevau-léger, dragons et cuir. Et artillerie de 6£ |
Rapport du Oberst Volks Wagen von DasAuto, chef d'état major du général Mapomm von Upperküt.
Votre majesté, maître des province illiriennes et ellebouquinekedalle, grand décripteur des blogs figophiles, soyez magnanime quant au résultat de notre combat du 23 du mois 1 de l'an de grace 2016.
Aprés que l'état major coalisé ait determiné les objectifs, notre division composés d'un brigade de cavalerie et d'une brigade des grenadiers Scovaud et Puteani, se déployait sur l'aile gauche de notre force allié. Nous avancions en tournant à gauche du bois sur la hauteur surplombant la rivière Sityplongetémouyé. Notre bataillon léger traversait ce bois laissant sur leur droite 2 bataillons de grenzer, en soutien des forces du centre.
Au débouché du bois, l'ennemi nous fait face avec une brigade complète d'infanterie fortement soutenue par 2 grosses batteries de 8£, qui prennent position sur une hauteur au delà de la rivière. Cette forte position défensive devait nous donner du fil à retordre. Notre cavalerie monte à l'assaut du pont, principal objectif de nos hommes, mais l'ennemi se forme alors en carré au sortir du pont, flanqué de 2 lignes d'infanterie, et comme déjà dit (faut suivre ok!), de canons de 8£. Ces canons tuent beaucoups d'hommes et de chevaux, et nos dragons ayant pris pied sur le pont se voit obligés de se replier pour éviter une destruction totale. Le colonel Oktav Hergébel, commandant le régiments des cuirrassiers de l'Archiduc Ferdinand (4eme cuirrassier), se replie également subissant de fortes pertes lui aussi. Les canons de 8£ nous bombarde sans discontinuer et ça tombe comme à Gravelotte (je crois que cette expression sera beaucoup à la mode dans une prochaine guerre franco prussienne dans 60 ans environs).
Seuls les grenadiers se lançent alors à l'assaut du pont, laissant la cavalerie se reformer à l'extrème gauche en vue de détruire le régiment de Hussards qui s'est avanturés sur notre rive de la Sityplongetémouyé. Au prix de lourdes pertes, les grenadiers prennent le pont, mais la nuit nous empêche d'aller plus en avant, laissant l'ennemi toujours sur ces positions. Le pont est sauvé, et devrait permettre aux restes et au gros des forces coalisées, un passage en vue d'assaillir Leipzig, où nous savons désormais que le félon napoléon s'est fortifié.
Quleques dessins imagés accompagnent ma correspondance en vue de témoigner du combat.
Plus au centre, nous entendions les cris et les canons, venant d'un combat autrement plus furieux, qui vous sera conté plus tard.
Ndl'A to be continued...
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2éme Rapport de bataille à sa majesté le Tsar Lekteurdeblog, empereur de tous les réseaux.
Le 27/01/2016
Jijigrossbaff a déployé ses troupes devant une.... colline (je crois) |
Bataille de la Sityplongetémouyé le 23 pluviassose,
Le général Jijigrossbaff avait placé ces quelques divisions prussiennes sur notre aile droite, au pied d'un excrément de vache (appelé colline chez nos ennemis) sur lequel sa batterie de 12£ devait nous aider.
Deux brigades et demi françaises, accompagnées de quelques régiments de cavalerie dont quelques lanciers de la Vistule, ainsi que de la grosse cavalerie, commandé par le Prince Gipaie, nous firent face et avaient clairement pour ordre de s'emparer de cette hauteur.
L'état-major prussien se surprenait à être étonner de tant de surprise et de mouvements innatendus et escongrus (suivez bien sire, suivez bien).
« Que diantre vois-je de telle manoeuvres? Et par quel subterfuge, notre ennemi compte prendre mon objectif principal (à savoir le pont situé à dextre)? » S'exclama Jijigrossbaff.
Je dois vous annoncez sire, qu'à 2 jours, désormais passé de ces combats, nous n'en savons toujours nenni.
Comme convenu, la batterie de 12£ faisait des trous béants dans les colonnes adverses, mais nous devons reconnaître ici, le courage et la bravoure des hommes de Gipaie, qui travérsérent sans faiblir la plaine , contournèrent les petits bois et se présentèrent bientôt au pied septentrional de notre hauteur.
Les bataillons prussiens ayant obtenus avec succés la maîtrise du pont le plus à dextre, le flanc gauche des brigades françaises étaient menacés. Les brigades françaises ne ralentissaient pourtant pas. Et leur surnombre aurait certainement eu raison de nos frêles carrés supportant la batterie de 12£ sans l'arrivée de la nuit.
Nos pertes restaient supportables, mais notre aile gauche était elle soumise à rude épreuve. Ce récit vous sera compter, mon Tsar, dans une prochaine correspondance.
NdlA: to be continued...
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1er Rapport de bataille à sa majesté le Tsar Lekteurdeblog, empereur de tous les réseaux.
Le 25/01/2016
La carte faite à la main sur le dos de mon cheval en pleine charge! |
Nos divisions arrivèrent en vue des faubourgs de Leipzig, aux ordres des généraux Didieribellgifle de Stockolm, Jijigrossbaff de Auerstaed, et Mapomm Von üpperkutt de Aspern, lorsque nous contactèrent les forces ennemies des généraux Olivard Comte de Foigrat et Passetisse, et Gipaie Prince de Vinasse, au passage de la rivière Sityplongetémouyé, l'épée dans les reins, presque autre chose dans autre chose.
Votre Majesté retrouvera dans mon courrier la carte des combats qui se sont déroulés, ce samedi 23 de Vachekipisse (dans le calendrier du sudouest).
Les divisions prussiennes se déployèrent en bon ordre sur notre aile droite, alors que les quelques bataillons allemands accompagnés de leur forts régiments de cavalerie, se formaient sur notre gauche. Le reste de nos forces, russes et suédoises investissaient le centre du champ de bataille, les russes s'appuyant sur notre aile gauche, et les suédois à leur droite.
Les divisions françaises, quant à elles, se déployer derrière la rivière, attendant le passage de nos troupes.
D'autres estafettes vous parviendront dans les jours à venir, afin que votre majesté, se rende compte avec quelle efficacité nous avons tenté de respecter nos objectifs qui étaient de s'emparer des ponts sur la Sityplongetémouyé, avant que l'ennemi ne les détruisent, ralentissent notre poursuite et puissent ainsi se renforcer un temps.
Note de moi: to be continued...
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