Si, je vous jure, les manches sont brunes (mais pas les chemises!).

Je l'avais dit dans un précédent article: il y avait une erreur dans mon 1er bataillon de grenadiers allemands. J'avais peint une compagnie avec les parements noirs, alors que les grenadiers de ce bataillon devaient les avoir bruns, car venant du 63eme IR.
Les parements noirs sont pour le 14eme IR, dont les grenadiers viendront s'aligner avec ceux des 45eme et 59eme, pour former le bataillon Puteani.
Ceux qui ont rien compris feront 2 heures de colle (non mais, c'est la rentrée ou non?).
Du coup, faut que j'y retourne pour finir ce Put(eani) de bataillon.
Ah oui, j'oubliais. Les figs sont toujours du Victrix, et donc pas terribles. Que voulez ma p'tite dam', c'est la crise aussi pour les peintres!
To be continued...

Le chef. Il fait tellement peur que j'en tremble (bref, c'est flou)!

Alors que la Hongrie pense à bâtir un mur pour conjurer le flot de migrants (ceux qu'on appelait les immigrés il y a quelques années...), j'ai une autre solution pour eux, un peu plus politiquement correcte. C'est vrai quoi, un mur en Europe de l'Est! Non, mais franchement qui pourrait penser à ça? On a jamais vu ça (à moins qu'on veuille se remémorer les sombres années aprés les caprices et ignominies du vilain moustachu à mèche, et le partage  "équitable" style Yalta, qui a suivi...). Bref...
Moi, je propose tout simpement de reformer les régiments des frontières qui existaient au bon vieux temps (le 1er empire pour ceux qui se seraient retrouvés sur ce blog par hasard, au retour d'un enterrement de vie de garçon bien arrosée, ou la stripteaseuse a fait faux bond - mais vrai grand écart-). Et j'argumente avec mes dernières peintulures, de mon 2eme bataillon du 13eme rgt des frontières, appelé plus courament Grenzer, du côté de la frontière austro hongroise. En plus les petits collants bleus, ça suffira à faire faire demi-tour aux réfugiés les moins motivés!
Pour les plus motivés, je ne peux que compatir et leur souhaiter de réussir dans leur périple (restons humain avant tout).
Tout ça pour dire que j'ai fini ces unités et que je retourne illico presto à la peinture de grenadiers, histoire de corriger la bévue du précédents bataillons (expliquée par LE CHEVALIER du 1er empire, dans le précédent article, au passage).
To be continued...

En français dans le texte. J'invente rien.

En lisant l'excellent Marengo, de chez Histoires etcollections, j'ai découvert une anecdote pas piquée des vers. A savoir, que pour décrasser les canons de leurs fusils (encrassés à force de tirer... l'inverse de nous, en fait), les gars n'avaient rien trouver de plus efficace que de.... pisser dedans!
J'imagine, le gars qui arrive devant l'infirmier, et qui lui explique qu'il a une chaude pisse (oups pardon, une blennoragie, j'avais promis de ne plus être vulgaire), à cause de son fusil encrassé...
A priori, à Marengo, il a fallu renouveler l'opréation plusieurs fois. Et le gars qui n'a plus envie, il fait comment? Il demande à son sergent de lui pisser dans le canon????
Bref, un jloie petite anecdote, du grenadier Coignet. Si elles sont toutes de cette envergure, je vais pas tarder à me fournir ses mémoires, à ce brave!
To be continued...

un vrai cuirrassier, un vieux de la vieille! 2 campagnes à son actif.

Pendant que Warlord games se gargarise avec le 8eme cuirrassier, pour ma part, j'ai retrouvé un véritable cuirrassier dans mon jardin. A savoir que le guerrier avait quitté son escadron depuis plus de 10 jours, certainement à la poursuite, d'un rosbeef en retraite, ou d'un teuton pleurnichard dont le carré a explosé. Comme quoi, un cuirrassier motivé, ça fait du chemin, et c'est tenace! Tenez vous le pour dit!
Je vous raconte pas non plus ce que ça bouffe. Comme dis l'autre, "vaut mieux l'avoir en photo qu'à table... pas seulement parce qu'il est laid!".
Ah j'oubliais, la gentille propriétaire, colonelle du régiment du quartier d'à coté, m'a fait le récapitulatif des états de service du troupier (qui s'appelle Lulu... lulu le cuirrassier, c'est rigolo non?), qui n'en est pas à sa première poursuite incontrolée. Le sbire (la sbire en fait) a rallier son régiment le lendemain de ma trouvaille, en pleine forme. Vivement la prochaine charge m'a t'elle murmuré à l'oreille.
To be continued...

 

Ils ont une drôle de trombine les Victrix, non?

Sacré chanson du belge, Jacquot Brel, pour titré cet article. Mais rien à voir avec la chanson. Ici on va parler de kit, et en particulier des p%$£*@# de salo#£€§&ie de figurines de chez Victrix. Moi, dans ma jeunesse (au  millénaire dernier) je faisais des maquettes, et petit à petit et par attrait pour le 1er empire et le wargame, je me suis mis au figurines. Eh beh, merci Victrix de nos rajeunir avec vos montages et collages de figurines, qui nous ramènent aux temps des vélociraptors! Parce que, le montage Victrix c'est la galère. Il faut le bras A qui va sur le corps Z, mais attention, car si tu mets la tête Q (et pas la tête dans le c... ), il te faut l'autre bras A prime, qui, lui, va avec le bras gauche trucmuche. Bref, faut tout bien repèrer avant ébavurage, lavage et collage/montage. Que du bonheur!
Ce coup-ci j'ai fait un bataillon de grenadiers allemands (mais autrichiens avant tout... laisser tomber c'est trop compliqué à expliquer!) qui faisait partie de la brigade Merville (bataillon Scovaud), qui est composé des grenadiers issus de 3 régiments allemands (tout ça c'est pour les puristes). Petit quizz: je me suis planté sur les parements d'un de ces régiments. A vous de me dire lequel, et surtout pourquoi?
En attendant vos réponses, j'ai le temps de faire un autre bataillon de Grenzer... a moins qu'il y ait un expert docteur es troupes autrichiennes 1809 dans mes lecteurs!
To be continued...