Niveau liquide ça va! Didier gère. Y'avait même un bar dans la salle!

En épilogue à notre baston waterloo du weekend passé, un grand merci à:
- nos chères et tendres dulcinées qui nous ont "autorisé" à nous absenter 2 jours, un weekend de fête des pères, et de leur laisser les courses, la vaisselle, le ménage, les gamins, la lessive, le facteur à surveiller, la pelouse à tondre, la durite de la tondeuse à changer, la kermesse de l'école à préparer, etc... bref comme d'hab non? Merci à elles;
- toujours à nos chères et tendres, qui nous ont préparer des petits plats à se partager entre amis. Un remerciement tout spécial à Emeline, celle qui partage la vie d' Olivier, pour ces lasagnes à tomber par terre, alors qu'elle avait un fièvre stratosphérique.
- Olivier, pour nous avoir dégotter une salle parfaite (encore une fois). De la place, des tables, des chaises, un frigo, un bar, le calme, et même des tapis de jeu vert fluo pour éviter qu'on s'endorme en attendant les mouvements des troupes adverses.
- JJ et Christine pour m'avoir hébergé, nourri, lavé les pieds, le genou, les dents etc... nourri et abreuvé au café béarnais (pour des chtis, c'est beau!). Un grand merci.
- et à tous les joueurs, même ceux absents ce weekend (Vivian, Christophe, Alex, Joan, et le petit nouveau stéphane), qui nous permettent de "discuter" certains points de règles et du coup de rendre "Vive l'Empereur" jouable. Notamment la fameuse règle du passage d'une table à une autre, règle créée spécialement pour ce weekend, et qui ne restera dans aucune annale. D'ailleurs, moi je l'ai imprimé, et je m'en sers pour caler une étagère dans mon garage (JP, tu peux effacer le power point je pense, ).
- merci à tous pour les figurines. A ce propos, il y avait aux alentours entre 1800 et 2000 figs sur table, si j'ai bien compté!
Vivement la prochaine. En attendant je retourne à mes amours autrichiennes, j'ai quelques renforts à peindre.
To be continued...

La ligne française va entrer dans le bois et pousser le teuton. Enfin!

Suite et fin de notre baston!

Aprés avoir émergé de nos doux songes peuplés de carrés, de charge, et de salve de canon, nous nou sommes tous retrouvés à la salle municipale de Renung, où nous attendait les bataillons et régiments de cavalerie que nous avions laissé la veille.

Nous étions dimanche, jour de fête des pères, et nou scomptions bien faire la fête aux trois pépères, Jean-Jacques, olivier et Jean-Pierre!

Il nous fallait recaler les billes et nous remettre le bleu de chauffe. En attendant que les bélligérants les plus proches (j'ai nommé Didier, JP et Seb – riri fifi et loulou) débarquent, JJ et moi avons clarifier un léger désaccord sur la puissance d'un carré sur de l'infanterie. Comme il n'y a rien dans la règle qui prévoit un malus quand vous êtes en carés contre de l'infanterie, ni un quelconque bonus pour l'attaquent d ece carré, j'étais persuadé qu'un carré était plus puissant qu'un bataillon (puisqu'en plus de se battre, ses rangs de côté peuvent en partie faire feu). Et bien, non. JJ, grand maître des calculs rapides sur sa calculette papier me l'a démontrer. Bon à savoir pour les prochaines bastons!

Revenons à nos moutons ou plûtot nos chevaux.

L'aile droite n'était toujours pas sécurisée, côté français, mais malgré les charges de cavalerie, dans tous les sens, la ligne française se mettait doucement mais surement en p^lca soutenue par une batterie de 8£, à notre extrème droite.

Le prussiens commençait à prendre chaud.

Au centre, l'avance à la bricole battait son plein, des 2 coté d'ailleurs, et les 2 lignes s'avancer doucement et surement. L'artillerie anglaise avait tout de même un efacheuse tendance à faire de gros trous dans nos bataillons.

Afin de mettre un peu de piquant, je décidait d'attaquer les reste du 95^th rifles, qui venaient de sortir du bois de la Haye Sainte, par la route de Bruxelles. JP avait encore bien lu mes intentions, et un repli vite fait bien dans ce bois, provoqua une charge dand le vide de mon bataillons, qui récoltait en plus un tir à mi efficacité de ces même rifles! Encore bien joué JP.

Soudain, les cloches de l'église de Plancenoit (à laquelle JJ tiens plus qu'à la prunelle de ces yeux) sonaient le tocsin. Il était midi, et d'un commun accord nous estimions que la partie serais trop longue à terminer, et beaucoup moins interressante, maintennat que Didier avait réussi à mettre un pied dans le boi sde Paris, sans toutefois chasser totalement JJ le prussien!

Fin des hostilités, sur unevictoire partielle du Frnaçais (Plancenoit, La Haye Sainte et ½ bois pris, contre Papelotte et ½ bois pour les alliés).

A l'avenir, nous ne rejouerons certainement pas un tel type de terrain, où tout est figé; Par contre un ebaston sur 2 jours c'est le top. La mise en place d'objectif est également, je pense, unplus qu'il nous faudra essayer sur des bastons plus « light », histoire d'éviter les traditionnelle tactiques: detruire l'adversaire sans but précis.

Il me reste à lancer les remerciements dans un prochain article.

To be continued...

 

Voltigeurs et tirailleurs de la garde à droite, 95th rifle à gauche.

Aprés la mise en place des figurines, ma partie commence. En tant que général de la garde et de l'aile gauche, j'applique à la lettre notre plan initial et j'envoie mes voltigeurs de la jeune garde dans la Haye Sainte où se trouve déjà le 95^th rifle de Jean Pierre. Une charge de cette jeune garde, associée à un bataillon arrivant par la route de bruxelles, chasse les british qui se replient dans le petit bois au nord de l'habitation. Pour éviter que la jeune garde, déboule dans ce bois, Jean pierre a un éclair de génie et envoie une fusée à la congrève sur la haye sainte. Un 6 aux dés plus tard, l'habitation est en feu, bloquant tout mouvement de ma part à travers ces maisons. Bien joué, mais j'ai mon objectif, et le feu le bloque pour tenter toute reprise.

La gauche étant en place, orientons nous vers l'aile droite française. Les prussiens de JJ arrivent enfin, et en masse, à travers le bois de Paris et de Hubermont (j'ai retrouvé les noms dans l'excellent « waterloo » de Cornwell). En voulant retarder le déboulé des teutons, pour mettre en place notre infanterie et notre artillerie, Didier et Seb, s'enberlificotent les neurones avec leur cavalerie légère et lourde, sans compter que la seule batterie de JJ est en place et bien soutenue par quelques carrés d'infanterie. 3 charges sur cette batterie, dont une avec 2 escadrons de cuirrassiers n'y feront rien et n'arriveront même pas a attendre le socle d'artillerie. Didier et Seb sont décorés du grand ordre des grands bouchers équestres, sur ces actions! A noter toutefois, que le général de corps menant toutes ces charges doit être qualifié d'immortel, car aprés 7 jets de dés, il est resté droit sur son cannasson, impossible à dégommer le gars!

Malgré ces charges infructueuses, la ligne d'infanterie française se mets en place à l'Est de Plancenoit pour tenter un contre sur l'avancée prussienne!

Aprés un excellent repas concocté par Emeline (merci à elle), la douce et tendre dulcinée d'Olivier, malgré une fièvre carabinée, elle aussi, nous reprenons nos ébats et débats avant de nous morfondre dans les bras de morphée avec en tête toutes les formations d'infanterie possibles et inimaginables!

Restera de cette première journée, un échange verbal fantasmagorique entre Olivier et Seb du genre:

Seb: T'as bougé tes troupes?

Olivier: J'ai pas à te le dire?

Seb: Oui, mais fô qu'j'sache pour te tirer dessus!

Olivier: rien à faire, tu te démerdes!

Seb: Oui mais je dois le savoir! En plus, y'a même pas tes jetons d'ordre sur la table!

Olivier: arrête ou je te fais mal!

Seb: bon, beh puisque c'est ça je te tire dessus! N'empêche que t'a pas jetonné, nanana na nère!

Olivier: c'est vrai. Mais ici c'est chez moi, et j'fais ce que je veux!

Etc, etc..... à quelques phrases prés!

Un prochain article racontera la suite et fin de cette baston.

To be continued....

Le centre Français, avec Plancenoit en fond. 3 div + la cav en place!

Bicentenaire oblige, nous nous sommes réunis, dans le fin fond des landes, sur une collilne (imprenable) appelée Renung. La réunion avait pour but, rejouer Waterloo avec le max de joueurs habitués à nos bastons! Au final, nous étions 6 (5 et demi, vu l'état de mon genou fraîchement opéré, 2 jours plus tôt), et nous avions pas moins de 12 600 pts de budget par armée. A titre de comparaison, une partie « classique » oppose des armée avec environ 6500 à 7000 pts.

A six, nous avons donc décidé d'oublier Hougoumont (château de Goumont comme appelé à l'époque), et de jouer (revivre?) la partie EST de Waterloo, c'est à dire depuis la Haye Sainte jusqu'à Papelotte, et le bois à l'est de Plancenoit (dont j'ai lamentablement oublié le nom, JJ à l'aide!). Seuls impératifs: placer la garde française historiquement (au sud, en face de la Haye Sainte) et arrivée des prussiens par l'Est, avec 1/3 des forces au niveau de papelotte, et les 2/3 au niveau de Plancenoit.

Vous le verrez au niveau des photos, la table représente.... une plaine. Tiens, qui l'eu crut? ET donc, autant dire que les manoeuvres ont été peu nombreuses (voire inexistantes), car dans un tel cas, le premier qui bouge à perdu (non, non, on ne joue pas à « un deux trois soleil »!).

Je joins à cet article les premiers tours de notre « baston » (ou était-ce une réunion de troupes qui préféraient profiter du weekend, que s'écharper pour quelques bouts de nappe).

Pour donner un peu de piment, nous avons donner des objectifs, 1 pt par objectif:

Prendre la haye sainte, prendre papelotte, prendre plancenoit, prendre le bois à l'Est de plancenoit.

JJ (fournisseur officiel des figs), Jean pierre (grand maître des listes d'armée) et Olivier (notre hôte) jouer les alliés. Seb, le roi de la charge incongrue, Didier « Le fossoyeur » (en breton dans le texte) et ma pomme avions les troupes françaises.

Objectif numéro un pour nous, bloquer l'aile droite anglaise et prendre la Haye sainte...

Je vous ferais le bilan à l'issue de tous les articles décrivant cette baston.

To be continued...

L'aile droite à l'issue des combats!

Votre majesté,

En cette veille de bataille décisive pour notre nation, mon corps a subi une attaque en bonne et due forme par une force ennemie nouvelle.

Alors que mon corps s'avançait selon vos ordres vers notre lieu de bataille, une brigade d'ambulancier et d'infirmers, fortement soutenu par des armes chimiques et soporifiques, nous a pris de flanc et à revers. Leur nouvelle arme anesthésiante, a complètement anéanti, et mis en échec toute les initaitives de mes généraux, colonels et de mon fidèle bras droit.

2 fortes incursions sur notre flanc postèrieur droit, a cloué notre corps pour la journée, et a complètement détruit toutes nos forces de riposte.

J'envoyait en toute alerte mes aides de camps, appelant à l'aide, et grace à leur vivacité et leur célérité, le soutien de mes 2 cantinères attitrées a permis la retraite de mon coprs ,non sans quelques séquelles. Les services infirmiers mis en place permettront je l'espère de combler les pertes subies, et d'amener mon corps à vos côtés pour assurer un combat, d'ici 2 jours, qui s'annonce d'ores et déjà homérique.

Je vous fait part, sire, des témoignages imagés de la fureur du combat et des dégats subis.

Que votre majesté soit assuré de ma fidélité, et de ma sincérité quant au souffrances supportées.

Bien impérialement!

 

PS: pour résumé, mon genou a pris cher, mais je me soigne!