Les planches pré découpées avant l'arrivée des maçons!

L'époque est au laser. La preuve: la dernière maison que je viens de monter est issue de chez Sarissa, le fameux constructeur de batiment pré découpés au laser.

On aurait pu appeler ça « Les maisons Merlin ». Facile à monter (15 minutes max, si vos avez fait la bringue la veille. Sinon en 10 minutes c'est plié!). Facile à peindre (1 petite heure, et quelques minutes pour les rajouts de végétations). Et c'est pile poil pour du 28mm (j'ai posé mes dernières troupes françaises d'élite devant la maison, pour vous expliquer)

Quant au prix... la maison présentée vaut 10£ (soit environ 13€). Je pense que la prochaine commande sera un batîment un peu plus évolué genre maison de ville (à étages) ou une grande grange.

Ceci étant, je vous ai rien dit. Y'a bientôt les impots locaux qui vont tomber, et j'ai pas déclaré cette résidence secondaire.

En attendant, je vous invite à allez voir le diorama de mon pote JJ et de son fidèle adjoint Vivian, à Tarbes, sur les charges de cavalerie à Waterloo. Allez sur le site « dunapodanslair » pour plus d'info.

Allez je vous laisse, y'a de la résine et du plomb (la jeune garde de chez Perry entre autres) qui m'attends pour préparer la baston Waterloo, qui approche à grands pas.

To be continued...

Vue coté sud...

Quand j'ai appris la mort de Martin Bouygues, ni une ni eux, je me suis mis en tête de relancer la construction farnçaise.

J'ai donc récupérer tout les petits bouts de cartons qui traînent dans mon garage, et j'ai essayé de faire un epetite maison période empire.

Bon, ok, c'est pas encore ça, mais c'est juste un coup d'essai. La taille est un peu trop petite pour du 28mm (j'ai mesuré avec une fig de chez Warlord, mais j'ai oublié de prendre en compte l'épaisseur des socles... arghh). Du coup, tout fantassin qui voudra se réfugier dans cette baraque s'entendra dire à son entrée « attention au plafond de porte ».

Ceci étant, je suis assez satisfait des couleurs et du rendu de surface. Pour ça j'ai utilisé ce que j'appelle la poudre de perlinpinpin. Il s'agit de pigment pour peinture, vendu chez une grand enseigne de bricolage, qui se termine par "Merlin". Il y a tout un panel de couleur, ici j'ai choisi Sienne naturelle.

On recouvre les murs de la baraque de colle (le fameux mélange moitié colle- moitié eau, bien connu de tout les parents qui ont le cable et dont les enfants regardent « Art Attack » sur la chaine disney), et on saupoudre le pigment (ça ressemble presque à de la farine coloré. On laisse séché et on peint par dessus.

Pour le briques apparentes, j'ai arraché la couche de carton plume et j'ai sculpté directement. C'est très rapide, car sous la couche c'est de la mousse très facile à sculpté. Pour faire des reflets sur les fenêtres, j'ai tout bêtement posé de la colle pattex (toujours de chez truc Merlin) qui devient transparente en séchant (je vais d'ailleurs tester ça pour faire des ruisseaux).

Voilà donc le résultat. Y'a beaucoup d'améliorations à apporter pour les prochaines (le toit notamment, mais j'ai ma petite idée). Heureusement mister Bouygues est toujours des notres; vous pouvez être tranquille, vous n'aurez pas à passer par moi pour faire construire votre prochain logement.

Bon j'y retourne, car j'ai reçu un autre maison, de chez Sarrissa. C'est en bois prédécoupé. Je vous ferais part de cette grande construction prochainement.

To be continued...

Tout est dans le titre! Y'a rien à ajouter.

Etant un peu flemmard, en ce moment, au niveau peinture et décors, je vais donc lancer un nouveau types d'articles concernant les lectures sur l'empire (ou sur tout sujet ayant comme toile de fond l'empire).
Aujourd'hui cher télespectateurs, je vous présente "Le Hussard" de Arturo Perez Reverte. Un grand auteur Espagnol qui en a écrit d'autre sur l'empire, et qui est spécialisé sur la période Guerre de la péninsule, quand il écrit sur l'empire (beh oui, il fait pas que ça quand même, c'est un romancier).
Comme vous l'aurez compris, le sujet du livre ne va pas vous parler des voltigeurs ni autres trucmuches de la garde, mais des hussards (diantre, quel suspense!). Là où le livre est magnifique (c'est mon humble avis, et je ne suis pas critique littéraire) c'est qu'il retrace une journée de la vie d'un hussard, pendant une bataille (on ne sait pas laquelle, à chacun d'essayer de trouver). C'est d'une précision assez exceptionnelle, et pour quiconque (comme moi) s'est toujours demandé comment se déroule une bataille, au coeur de l'action, c'est le livre qu'il faut. C'est parfois lent, parfois rapide, souvent sanglant (tiens, étonnant pour une bataille d'empire!), et la fin vous colle au siège (pour ma part à l'oreiller, car je l'ai lu pricipalement dans mon lit). Je vous détaille pas l'histoire, juste à m'en donné (dédicace aux gens du Sud ouest) il y a un cheval! Incroyable!
En plus, pour ceux que la lecture rebute, c'est assez court (à peine 200 pages).
Bref, vous l'aurez compris, j'adore, et je vous le conseille fortement.
J'essaierai, de temps en temps d'alimenter cette rubrique avec d'autres livres de ma bibliothèque. N'hésitez à m'en faire  connaître, si vous avez des perles.
Sur ce, je retourne à mon atelier, il parait qu'un grand promoteur n'est pas décédé, il faut donc que je continue mes baraques.
To be continued...

L'attelage posé sur le gabarit. Y'a plus qu'à avancer et tirer...

Combien de fois n'avons nous pas pester, rager, gueuler à propos de la taille de nos engins!

Bande de pervers, je parle de nos canons et de leurs attelages. Et oui, à chaque baston, on le dit! Et beh, ce coup ci je l'ai fait. J'ai réalisé des socles pour les attelages et pour les canons en batteries adaptés à la règle « vive l'Empereur », soit 9cm de front pour une batterie à 6 figs, et 7,5cm pour une à 5. Comme dirait l'amie de JJ, Mme Odette, la taille importe peu, tant qu'il y a le plaisir. C'est vrai. Mais quand vous lancer une charge (et pas une décharge) de cavalerie sur une batterie, et que votre front vient taper sur les bataillons en soutien de chaque côté, ça a son importance. Et oui, mes chers confrères et camarades, fini la gruge, qui consiste à mettre un socle de 6 cm de large et de le faire passer pour du canon de 12 à 5 ou 6 figs.

Pour adapter, j'ai juste créer une première base sur laquelle viendront se poser les attelages déjà existant, histoire de pas à avoir tout à refaire.

Pour les mises en batteries, un bon carré de carton, « finement » texturé, et hop, prêt à faire feu (et pas décharger, je l'ai déjà dit, nom de d...)

Comme dirait l'autre, il fallait une réforme, elle est en place. C'est mon 49-3 à moi! Allez j'y retourne, je viens de voir qu'il me manque un socle pour la prochaine baston de ce weekend. D'ailleurs je vais tester une nouvelle manière de socler, que j'ai entraperçu sur internet cette semaine...

To be continued....

A peine sec, sans vernis, et hop devant l'objectif.

Bienvenue au rayon maquillage et cosmétique.

Je me suis rendu compte, lors de notre dernière baston, que certains ne vernissent pas leur figurine. Pour ma part, vu le temps que j'y passe, à les peindre, j'évite si possible les petits éclats qui ont forcément lieu. C'est vrai quoi! Qui n'a jamais bazardé son bataillon de vielle garde contre un mur, en voyant le seul canon de mon ami JJ faire un 6 aux dés et, du coup, décapiter mon général en chef. ET tout ça, bien évidemment juste avant la charge la plus critique de la partie! Une belle déculottée à suivre, comme dirai Jade au Carlton de Lille

Donc, vous l'aurez compris, chez moi, c'est vernissage à chaque salve de figurines. Mais, pour aider mon autre ami Christophe de chez les pruneaux, dit aussi Cricri La Tulipe, je m'en vais vous expliquer, images à l'appui, les étapes de ce boulot de titan.

1ere photo, la figurine sans vernis, brut de sortie de peinture.

2eme photo: avec une couche de vernis brillant (ou semi brillant, en fait c'est pareil). Je trouve que ça fait ressortir les reliefs et les contrastes. Inconvénient, comme vous pouvez le voir, ça brille un max (pas très réaliste, pour des gars qui passent des jours et des jours dans la gadoue, qui se lavent le 36 du mois, et qui doivent en plus se coucher devant des boulets de 3 kg à 500km/h).

3eme photo: avec une 2eme couche de vernis, mais mat cette fois ci. Ça permets de casser le brillant, tout en gardant un max de contrastes.

Quelques petites précisions avant de commencer: le vernis que j'utilise est assez épais, et a tendance à faire un dépôt blanchâtre dans certains creux. Il faut donc repasser avec un pinceau sec (le même que pour le vernis, après l'avoir essuyer sur un chiffon).

J'utilise du PEBEO pour le vernis brillant (c'est un vernis pour tableau, mais ça fait très bien l'affaire, et ça rends super bien pour les drapeaux), et du Vallejo pour le mat. On peut aussi utiliser du PEBEO pour le mat (voir la dernière photo) mais je trouve que ça casse un peu les reliefs, et ça « aplati » la figurine.

Voilà, vous n'avez plus qu'à vous y mettre comme dirait DSK dans un Sofitel de New York.

Quant à moi, j'y retourne. Y'a une commémo Waterloo qui doit avoir lieu, parait-il.

To be continued...