Si vous approchez de l'écran, vous sentirez la vodka...

Je l'avais dit que j'allias voir d'autres destinations. Beh voilà c'est fait, j eme sui slancé dans la peinture de polonais. Les figs viennent de chez Murawski. La gravure est trés bonne (voire exceptionnelle) et le choix des poses est assez variés. En ce moment, ils proposent même des figs "Retraite de Russie". Vue la météo qu'on a aujourd'hui, c'est presque d'actualité.
Pour ma part, je me suis concentré sur certaines unités qui ont participé à la campagne de 1809. Beh, oui, les amis, on s'est frité en Pologne (qui n'existait pas en tant que telle à l'époque) contre les Autrichiens. On peut même dire que nos fidèles alliés polacks, se sont plus que bien comporté. 
La 1ere salve vous montre des fusiliers du 1er régt. du "Duché de Varsovie". Du moins je crois, car trouver des planches d'uniformes polonais, bien fournies, c'est comme avoir un rendez vous au café du coin avec Mss France, c'est rare!
Mais je désespère pas...pour les planches, pas pour la Miss! Le Père Noël, y'a longtemps que je l'ai pas vu...
Cette semaine, j'attaque les troupes d'elite (voltigeurs et Grenadiers). Et j'essaierai de vous conter la campagne de 1809 coté polacks.
To be continued...

S'il fait la tête, c'est parce qu'il a perdu son chapeau.

Non, non, je ne me suis pas trompé dans le titre: c'est bien "ces" et non "ses" que j'ai voulu écrire. En effet, aujourd'hui on va regarder ce qu'il y a du coté des panards, des godasses et autres godillots de nos figurines. J'ai nommé : LE SOCLE. Et bien évidemment le soclage.
Grâce au détournement d'un ami bastonneur de figurine de plomb acharné, j'ai nommé le grand Seb de chez Bordeluche, nous utilisons de bons gros socles aimantés pour nos fig. C'est super, ça tiens tout seul dans nos boite de rangement, à condition d'avoir une plaque de métal pour tenir chaque bataillon.
Mais j'avais toujours du mal à réaliser un bon soclage (de là à dire beau, y'a un monde). Et au merveille, en scrutant du coté des tutos de Toitube (traduction frenchie d'un célèbre site d'image et vidéo), j'ai trouvé une donzelle albionesque, digne héritière de Nelson et Wellignton qui nous fait la démonstartion de plusieurs type de socle. Du classique, au désertique en passant par le boueux de la retraite de Russie. Je vous conseille de couper le son, elle a une voix à faire échapper tous les passereaux du Sud Ouest (et en plus elle se tait jamais la bougresse)!
J'ai donc utilisé sa méthode, on ne peut plus simple, et je vous montre ici le résultat.
Un peu de sable récupéré dans la bouteille de "Buvez - Eliminez de votre blonde qui se fait dorer la pillule sur la plage, que vous aurez au préalable vidée discrètement (la bouteille, pas la blonde!), de la peinture brun foncé, un brossage brun clair, colle, flocage vert, et quelques touffes de steppe achetées chez Army Painter, et voilà un socle assez sympa (à mon gout).
Bon, j'y retourne, j'ai une nouvelle nationalité à peindre.
To be continued....

Feuille de calcul de JJ. Même Champollion s'y est cassé les dents...

Dans toute baston digne de ce nom; il y a des moments bien particuliers. Je vais donc vous montrais quelques petites images de ces quelques moments. Un des plus spécifiques est le moment où on calcule les tests de charge et autres tests de mélées.
JJ garnd spécialistes, et grand script devant l'éternel, s'est fait une spécialité de faire ces calculs, stylo à la main et feuille blanche (tout du moins au départ de l'action) à disposition.
Quelques secondes plus tard, on en arrive à des gribouillis, pattes de mouches et autres ratures... tout le monde regarde JJ en se demandant s'il ne débarque pas tout droit de la planète calculmentaldugammaranus, et comment il fait pour s'y retrouver. Et 9 fois sur 10, on reprends tout à zéro et on repart pour un tour de calculette "ciboulo-cérébralique". Au final, il semble que les calculs sont conformes, même si je reste persuadé qu'on en oublie en route...
Un autre moment particulier, est la phase rangement. Et là c'est impressionnant. Comment ranger 1000 figurines en 30min, dans des boites à peine plus grande que l'appart que j'avais à mes 20ans, ça m'impressionne à chaque. Chacun a son petit truc pour s'y retrouver, mais dés qu'un autre joueur vient vous filer un coup de main, la sempiternelle phrase ressurgit à chaque fois "Laisse, je vais me les ranger!". On a beau se cotoyer depuis quelques temps (et pourtant, je suis un des derniers arrivé dans la bande), personne n'arriverra à ranger les figurines d'un autre... ç'est quasiment du ressort de la maladie mentale non?
Ceci étant, je vous parle même pas du rangement des décors et boites dans les véhicules... il parait que l'inventeur de TETRIS était un ancien adepte de ces bastons... c'est vous dire!

Grosse charge et bagarre au centre...

Revenons à notre baston dantesque du weekend dernier.
Pour ce 3eme acte, la partie entre dans une phase décisive. l'aile gauche de Vivian était... comment dire euh... trés mal barré. En effet, toute la ligne d'infanterie de l'Ogre Didier se lançait dans une charge qui n'a fait qu'une bouchée des pauvres bataillons épars tentant de résister. Sans compter qu'un bataillon était resté en carré, devant de l'infanterie, ça ne tourne jamais bien rond (normal pour un carré).
A droite, nous avons assisté à une joute verbale digne des grandes heures de "Droit De Réponse", où nos 2 bordeluches s'en sont mis plein la trombine. En effet, un différend sur la tolérance à accepter certains oublis, a fait monter les décibels au niveau d'un Mirage 2000 en vol rase mottes à Mach 2 (quand on pense qu'ils ont fait la route ensemble pour le retour...). Néanmoins, les chevaliers gardes de JP ont lancé une charge venu du diable vauvert, avec pour cible un regt de Hussards farnçais. Vous m'excuserez de ne pas avoir vu le résultat de cette partie de catch, j'étais un peu occupé au centre.
Et donc au centre, aprés moultes discussions, avis, contreavis, ordre et contreordre, Christophe et ma pomme avons décidé de chargé la ligne française. Erreur monumentale, car le père fouettard JJ nous y attendait, fusil au pied et baïonette dressée. Une vraie nasse, dans laquelle nos 3 regt russes se sont engoufrés, ont pris une volée de mousquetterie dans les miches, les joues, et les fesses, et du coup ont dû reculer sur la mélée.
La fin de journée était bien entamée et le soleil de Foulayronnes nous tirer par la jambe et nos priait de rejoindre nos pénattes, le laissant se reposer avant le changement d'heure (on a dormi une heure de plus en ajoutant une heure en moins... non en plus... euh non l'inverse... ah m**** je sais jamais!).
Mais le russe reviendra, car comme dit le dicton moujik:
"Il ne suffit pas de tuer un Russe, il faut aussi le pousser pour qu'il tombe" (véridique).
Dans un "très" prochain épisode vous aurez le petit bonus de cette partie.
To be continued...

Un écran de fumée façon cosaque, pour masquer le reste des forces.

Comme dit précédemment, voici la suite de la terrible bataille qui a eu lieu ce weekend, prés d'Agen.
La gauche autrichienne, aprés avoir mis ses bataillons hongrois en carrés voyait débouler, le nez dans le guidon, tel Ocagna descendant le Tourmalet, Le Haut Landais Didier et ses hordes de cavaliers lourds, puissants, et fortement cuirrassés. Son infanterie Westphalienne a eu raison du petit bois, qui avais l'air tout riquiqui, devant la masse de pietaille qui déferlait. Les quelques hussards miliciens, et les quelques grenzers conscrits de Vivian prirent leurs jambes à leur cou, aprés avoir tirer un seul coup de fusil (pas le temps pour quelque autre coup que ce soit!), justement, sans trés grand effet!
Sur la droite, nos 2 bordeluches JP et Xavier, se faisaient quelques courbettes, à savoir qui avancerais le premier, le plus loin, et le plus courtoisement possible (c'était la calme avant la tempête).
Le village était la propriété d'un jeune élu, sieur Joan (à qui celà a dû peut-être donner des idées pour les prochaines municipales).
Le centre voyait Jean Jacques, dit JJ (du grand célèbre site "dunapodanslair") s'emparer de sa non moins célèbre colline " le Pratzen du Béarn" sans coup férir. Ma pomme l'attendait patiemment au pied du mont avec une belle ligne d'infanterie autrichienne assortie de bon vieux canons autant autrichiens que peu efficace. Le premier feu fit toutefois effet, puisque le bataillon de jeune garde, recula sous l'impact en laissant une perte et un général sur le carreau! On sentit quelques tremblement dans la vielle carcasse du vieux grognard (les images sont là pour le prouver).
Mais l'avance française semblait tout de même inarrétable. C'était sans compter sur les ressources des troupes de l'est qui ne comptaient pas en rester là, et qui avaient décidé de fourrager, contrer, tirailler, contrattaquer, caillasser, fracasser, bref en un mot comme en cent, se battre!
La suite est une autre histoire.... dans un autre article.
To be continued...